Votre travail est une bouffée de lumière virile sur ma jeune tête fraiche d'éphèbe au féminin et j'aimerais tant parler tout vous exprimer, mais hélas! hélas...
Les mots me manquent. Ah le cruel destin.
Mais vous n'en restez pas moins Hugo, monsieur Hugo, vous n'en restez pas moins
Monsieur de Faucompret, Je vous aime!
RépondreSupprimerVotre travail est une bouffée de lumière virile sur ma jeune tête fraiche d'éphèbe au féminin et j'aimerais tant parler tout vous exprimer, mais hélas! hélas...
Les mots me manquent.
Ah le cruel destin.
Mais vous n'en restez pas moins Hugo, monsieur Hugo, vous n'en restez pas moins
LE GRAND HUGO.
et pour cela merci. :)